Pour essayer le Subaru Outback, quoi de mieux que de l’emmener sur les terres saintes qui ont fait la réputation de la marque : les pistes montagneuses. Le grand break au look baroudeur de la marque japonaise jouit d’une réputation solide, construite depuis des années. Modernisé au fil des générations, le Subaru Outback affiche une fiche technique pourtant toujours aussi claire : moteur essence Boxer 2,5 L, transmission intégrale et garde au sol importante. De quoi affronter tous les terrains sans difficultés, seul ou à plusieurs. Direction les Alpes pour vérifier tout ça. Essai Subaru Outback : le break baroudeur par excellence.
Un changement de cap
Si comme moi vous avez grandit dans les années 90-2000, Subaru rime avec une seule chose : rallye. Le constructeur japonais, né en 1953, s’engage en 1990 en championnat du monde des rallye avec la Legacy. La berline milieu de gamme offre des prestations intéressantes : une transmission intégrale et 220 ch sur la version la plus puissante. En course, les résultats sont prometteurs. Cependant, trois années de compétitions passent et les succès sont … relatifs. Mais la compétition automobile s’ancre dans l’ADN de Subaru. En 1993, la Legacy est remplacée par l’Impreza. S’en suivent 15 années de succès, sportif, médiatique et économique. Subaru fait naître des légendes, avec en tête de liste Colin McRae. Mais aussi Carlos Sainz, Petter Solberg, Tommi Mäkinen, Mikko Hirvonen ou encore Stéphane Sarrazin. Le célèbre covering jaune et bleu du Subaru World Rally Team inonde le sport automobile. Subaru devient la référence à cette époque.
Notre Subaru Outback a d’ailleurs un lien très fort avec cette époque. La première génération d’Impreza introduit en 1995 la finition Outback Sport (également disponible sur la Legacy). Cette finition apporte ce qui fait toujours la recette de l’Outback : garde au sol légèrement surélevée, galerie de toit apparente, garde-boue, … Bref un look baroudeur authentique, à l’opposé du chic et sport de l’Impreza classique. Les années passent et les générations d’Impreza gardent la même recette. D’un côté on retrouve l’Impreza « familiale » avec les versions break et Outback Sport, de l’autre l’Impreza « comme en rallye » avec les versions WRX et STI. A chaque fois la recette est la même : transmission intégrale et moteur Boxer 4 cylindres.
2007 et la 3ème génération voient la fin de l’appellation Outback. L’Impreza n’est plus proposée en break et l’ultime version Outback est apposée sur l’Impreza à hayon. En 2011, la 4ème génération apporte le badge XV (ou XV Crosstrek) pour remplacer l’appellation Outback. Puis la 5ème génération enterre le tout en 2016. Plus de XV, plus de WRX, plus de STI. L’Impreza devient une berline milieu de gamme, sans réel atout et sans charme particulier. Un changement de cap compréhensible puisque Subaru n’est plus engagé en compétition automobile et l’actualité n’est plus vraiment aux versions sportives.
Subaru Outback : fidèle à ses origines
Malgré tout ça, l’Outback survit. Pour être franc, c’est en grande partie grâce au marché nord américain assez friand de ce genre de silhouette. Aujourd’hui, l’Outback est un modèle à part entière dans la gamme et c’est la 6ème génération dont nous prenons le volant. Extérieurement, on se retrouve face à un véhicule assez imposant. Avec 4,87 m de long, c’est plus que la majorité du parc automobile actuel. C’est même dans la moyenne haute pour un break (une Audi A4 Avant mesure 4,75 par exemple). On a donc affaire à un véhicule qui ne cache pas son jeu. Quelque soit la version, Onyx Field (l’entrée de gamme) ou dans notre cas Touring Exclusive, l’Outback annonce la couleur. Pare-chocs avant et arrière apparents en plastique, bas de caisses et arches de roue renforcés également en plastique, galerie de toit surdimensionnée avec barres de toit intégrées, jantes 18 pouces et pneus épais. Tout nous indique qu’il s’agit d’un véhicule paré pour l’aventure.
A l’inverse de la Mercedes Classe C All-Terrain essayée précédemment, le Subaru Outback donne le ton. Là ou l’allemande la jouait cossue mais un peu aventurière, la japonaise s’annonce comme aventurière avant tout, et tout de même un peu cossue. Le tout terrain a toujours été dans l’ADN de la marque. Terminé le côté sportif, c’est aujourd’hui sur la mode aventure et « Van Life » que surfe Subaru. Avec ses modèles Ascent, Forester, XV et Outback, Subaru dispose d’un solide réputation dans le milieu des véhicules dédiées à l’aventure. Avec une garde au sol de 21 cm et une carrosserie qui ne semble ne rien craindre, le break peut sortir des sentiers battus sans difficulté. C’est suffisamment rare pour le signaler.
La finition Touring Exclusive de notre modèle d’essai comprend également quelques détails qui permettent à l’Outback de ne pas jouer que dans la cour des aficionados de camping sauvage. A l’avant, la grille de calandre, l’entourage de la bouche d’aération et l’entourage des feux de brouillard avant se parent de gris argenté. A l’arrière, la partie basse du pare-chocs adopte le même traitement. Enfin, les barres de toit et les coques de rétroviseurs prennent eux aussi la touche argentée. Ces petits détails permettent au Subaru Outback d’adopter un style plus urbain, plus moderne. L’accastillage baroudeur qui fait la signature de l’Outback est là. Mais ce dernier saura aussi attirer des clients plus jeunes en besoin d’espace et de volume à bord.
« C’était mieux avant »
Si l’extérieur est sans équivoque, l’intérieur cache lui bien son jeu. La première fois que l’on ouvre la portière, c’est un choc. Autant être honnête, je ne m’attendais pas à ça. Dans mon inconscient, Subaru rimait désormais avec prestations low-cost et style insipide. Et bien j’avais faux sur toute la ligne. L’intérieur de cette Subaru est, si on ne colle pas son œil aux matériaux pour aller chercher les petits défauts, plutôt qualitatif. Visuellement cela présente très bien. Les assemblages sont de qualité et transpirent la solidité. L’intérieur Cuir Nappa Ivoire est beau, presque détonnant dans ce type de véhicule. Une fois assis à la place conducteur, la découverte commence.
Et c’est là que les défauts apparaissent. Le volant est constellé de commandes. Pas moins de vingt au total le parsèment. C’est beaucoup trop pour s’y retrouver facilement. Et c’est sans compter sur les commandes additionnelles cachées derrière le volant, comme la luminosité du combiné d’instrumentation ou la remise à zéro de l’ordinateur de bord.
Le combiné d’instrumentation conserve d’ailleurs une ancienne technologie à aiguilles. Ce n’est pas vraiment dérangeant et je ne m’attendais pas à plus. L’écran central semble lui aussi d’une ancienne génération. Bien que plutôt réactif et fluide, les pages et menus sont graphiquement très basiques. Le style et l’attractivité que peut engendrer un multimédia de qualité de nos jours n’est clairement pas le critère n°1 de Subaru. De plus, l’écran central est entouré de boutons physiques assez grossiers. C’est toujours plaisant d’avoir des fonctions accessibles directement sans passer par un écran, mais elles sont ici tout sauf qualitatives. La commande de boîte de vitesses est elle aussi démodée. Le levier de boîte automatique en console semble massive dans un quotidien où les commandes de boîte sont parfois réduites à de simples toggle. L’Outback semble ne pas avoir évolué depuis plusieurs générations. Et si ce n’est pas du plus glamour, c’est en conséquence très naturel à prendre en main.
A bord du Subaru Outback
Le reste de l’intérieur et des prestations suit le même mot d’ordre : rationnel. Tout est là pour une bonne raison. Il n’y a pas de surenchère. Le rang 1 est plutôt choyé avec une sellerie de qualité et confortable. Tout est fait pour vous rendre le trajet le plus simple et le plus agréable. De nombreux rangements sont présents et accessibles, en console centrale et dans les portes. Le volant et les sièges chauffant sont toujours appréciables, surtout avec les faibles températures de février. La surface vitrée est assez importante, notamment avec le toit ouvrant. Le tout amène beaucoup de luminosité dans l’habitacle. Les surfaces en cuir ivoire sont ainsi mises en valeur. En revanche, le reste révèle de nombreux plastiques durs peu élogieux, mais surement faciles à nettoyer. Après tout, on ne lui demande guère plus.
Le rang 2 est lui aussi assez confortable. Le volume est spacieux et les deux places pourront accueillir sans problème deux personnes de grand gabarit. La place centrale est comme souvent là pour dépanner mais à ne pas prendre en considération pour un long trajet. La banquette arrière est elle aussi chauffante. Un atout indéniable si vous résidez dans une région montagneuse par exemple. La visibilité est aussi très bonne depuis les places arrières. Les vitres latérales remontent assez haut, on est loin des meurtrières à la mode en ce moment. Ajouté au toit panoramique, les claustrophobes seront ainsi épargnés.
Enfin, le volume de chargement dans le coffre est quasiment illimité. Avec 561 L et jusqu’à 1822 L une fois la banquette rabattue, c’est idéal pour une famille de 4 personnes. Le Subaru Outback peut donc aussi bien servir pour les vacances en famille que pour un usage typé loisir : VTT, paddle, ski, couchage itinérant, etc. Tout le monde y trouvera son compte.
Suédoise dans l’âme
Au volant, la préoccupation première de Subaru c’est : la sécurité. L’Outback vous à l’œil en permanence, littéralement. La disgracieuse verrue située au dessus de l’écran central multimédia cache en réalité des capteurs d’attention du conducteur. Le système EyeSight vous analyse en permanence et vous alerte lorsque vous détournez le regard de la route trop longtemps. Ou que vous commencez à somnoler. Cela vient s’ajouter au « moniteur d’aide EyeSight », un petit module comprenant 7 LED situé en fond de planche de bord, au plus près du pare-brise. Les LED se reflètent dans le pare-brise et sont ainsi visibles uniquement par le conducteur, comme un affichage tête-haute. Ce dispositif permet d’un simple coup d’œil de savoir si tout va bien (aucune LED ou 1 LED verte centrale), d’alerter d’un franchissement de ligne (2 LED jaunes latéralisées) ou encore d’alerter d’un manque de vigilance (4 LED rouges latéralisées 2+2). Ce dispositif est bien entendu désactivable. Mais, s’il est un peu perturbant au début, on se rend vite compte qu’il finit par passer presque inaperçu. Il devient même assez pratique dans certains cas.
Le Subaru Outback est bardé de capteurs. Deux caméras sont situées dans le plafonnier en addition du radar longue portée, des capteurs courte portée à l’avant et à l’arrière ainsi que des caméras latérales et arrière. La panoplie complète est présente, ce qui permet au Subaru Outback d’offrir des prestations très contemporaines. Le combo classique du régulateur de vitesse adaptatif et du maintient dans la voie est bien entendu au programme, ainsi que de nombreuses autres aides à la conduite comme l’alerte de franchissement de lignes, le système de freinage pré-collision, le système d’évitement d’urgence, le système de contrôle en descente ou encore le freinage automatique en marche arrière.
Subaru Outback : un dinosaure sur la route…
Une fois sur la route, et bien, il ne se passe pas grand chose à vrai dire. Le gabarit du véhicule impose un petit temps d’adaptation, surtout pour sortir de la région parisienne. Mais une fois sur route dégagée, le Subaru Outback est très plaisant à conduire. Le style du véhicule et le comportement au volant me rappellent un peu le Suzuki Jimny (pourtant à l’opposé niveau gabarit) : direction réactive, ressenti physique du moteur et mouvements de caisse pendulaires. Tout ceci, ainsi que la boîte de vitesses Lineartronic CVT impose une conduite souple et coulée. De toute façon, la sportivité n’est pas la mission première de cet Outback. Bien que la technologie CVT ne soit plus toute jeune, elle n’en reste pas moins agréable tant que l’on se comporte avec douceur sur l’accélérateur. Ainsi, seules les reprises brusques du régulateur automatique auront perturbé une conduite dans l’ensemble très agréable.
A vitesse de croisière sur autoroute, l’insonorisation révélera ses limites. Les bruits d’air sont nombreux et le bruit du moteur est malheureusement trop présent. Le système audio Harman Kardon est tout juste suffisant. De plus, chaque alerte d’inattention coupe temporairement l’audio du rang 1 mais le laisse au rang 2. On alterne donc entre son global et son localisé. Un comportement compréhensible mais assez pénible au long terme. Sur autoroute toujours, les aides à la conduite se comportent globalement bien. Seul le régulateur de vitesse nous a fait défaut à certains moments, avec des freinages brusques suite à de mauvaises détections de véhicules. De plus, une petite alerte sonore se fait entendre à chaque fois que l’Outback détecte un véhicule devant qu’il prend comme référence. Une surenchère auditive qui se révèle assez agaçante au bout d’un moment. La tranquillité au volant n’est pas de mise.
… mais un vrai kangourou un fois dans son élément
Son terrain de jeu favori est donc celui de sa lointaine cousine l’Impreza : la terre, le gravier, la neige. A faible et moyenne vitesse, sur un chemin poussiéreux ou dans la boue verglacée de février, l’Outback est à son aise. Bien qu’habillé de ses apparats bourgeois, la vraie nature de l’Outback ressort. Le tout terrain ne lui fait pas peur. Grâce à sa transmission intégrale permanente, rien ne l’effraie. De plus, les modes accessibles via l’écran central tactile Snow/Dirt (tout chemin) ou Snow/Mud (neige ou boue à faible adhérence) permettent de répartir la traction de manière assez bluffante. On se sent vraiment en sécurité à bord de ce Subaru Outback. Bénéficiant d’une solide réputation en la matière, s’aventurer en dehors des sentiers battus est vraiment plaisant. On se sent capable d’aller n’importe où. Le couple envoyé aux roues est géré automatiquement et la haute garde au sol permet de se frayer un chemin avec une facilité déconcertante.
Le gabarit du véhicule et son poids (1 641 kg à vide) ne sont pas un obstacle. Le moteur Subaru Boxer essence 2.5i de 169 ch est incroyable. Ce n’est clairement pas le plus réactif ni le plus expressif, mais il est parfaitement adapté à l’usage et au véhicule qu’il supporte dans ces conditions. Le couple est présent et suffisant pour entraîner l’Outback sur les terrains difficiles. La suspension est idéalement typée confort. On n’est ni trop baladé ni trop secoué, même lorsque l’on franchit des passages rocailleux. Les routes enneigées et les chemins rencontrés lors de cet essai n’ont pas été un frein, loin de là, même chargés de 3 personnes et le coffre plein. Le Subaru Outback donne envie de faire volontairement un détour sur son itinéraire pour profiter d’un peu de tout chemin tellement il est à l’aise. Contrairement à la Mercedes Classe C All-Terrain précédemment essayée, on se surprend à vouloir salir ce Subaru Outback. On veut lui faire volontairement endurer un terrain rude car on sait que l’on va prendre du plaisir à le faire. Un vrai bonheur.
Subaru Outback victime de son malus
Et le bonheur c’est important, surtout de nos jours. Alors oui le Subaru Outback a des défauts. Le style extérieur commence à être daté, l’intérieur un peu vieillot est rempli de plastiques durs, la partie moteur/boîte de vitesses n’est pas à la pointe de la technologie, mais peu importe. Après tout ce n’est pas ce qu’on lui demande. Et ce qu’on lui demande, il y répond de la manière la plus honnête possible. Comme évoqué précédemment, tout est rationnel avec le Subaru Outback. Il se permet également quelques petites fantaisies intéressantes comme le moniteur d’aide EyeSight ou la banquette arrière chauffante qui le démarquent de la concurrence.
Malheureusement, l’actualité a eu raison du Subaru Outback. Les réglementations en termes d’émissions de CO2 ne jouent clairement pas en sa faveur. Avec 193 CO2 g/km (WLTP), le Subaru Outback écope d’un lourd malus de 16 810 €. Des solutions existent pour faire diminuer la punition, comme l’installation d’un kit GPL par exemple. Malheureusement non disponible de série, l’installation d’un tel kit permet pourtant de faire baisser drastiquement le malus de 16 810 € à 2 544 €. Le critère économique est assez important dans l’acquisition et l’utilisation de ce Subaru Outback. Avec une consommation moyenne mesurée de 8,4 L/100 km, ce n’est pas le plus économique. Mais cela reste acceptable pour l’usage effectué.
Chiffres et concurrence
Le Subaru Outback est disponible au tarif de 49 990 € en finition Onyx Field. C’est la finition « de base » mais qui est déjà bien complète. La finition supérieur de notre modèle d’essai, Touring Exclusive, plus chic, est disponible contre 54 990 €. Cette dernière ajoute les éléments chrome extérieurs, l’intérieur cuir, le toit ouvrant et l’audio Harman Kardon. Tout le reste est déjà inclus. C’est la force de Subaru. Là encore pas de surenchère. Tout y est. Tout ce dont vous avez besoin lorsque vous recherchez ce genre de véhicule se trouve déjà sur la fiche technique. Pas besoin de passer sa journée sur la liste des options et se retrouver à la fin avec une facture exagérée. Le pragmatisme est vraiment le maître mot.
Face à lui on retrouve l’Audi A4 Allroad quattro, également vieillissante et écopant du même malus assassin de 194 CO2 g/km. La facture finale s’envole ainsi au delà des 70 000 €. L’Audi A6 Allroad quattro, plus longue (4,95 m) est hors catégorie, avec un tarif débutant au delà des 80 000 € et un malus assassin de 195 CO2 g/km. La Volkswagen Passat Alltrack est elle disponible à partir de 56 090 € mais elle est moins bien équipée et moins à l’aise en tout-terrain. En revanche elle écope d’un malus moindre de 2 918 €. La Mercedes Classe C 200 4MATIC All-Terrain est en face à 59 500 € avec un malus de 2 544 €. Comme à l’accoutumé, la liste d’options est longue à n’en plus finir et la facture atteindra également facilement les 70 000 €. La grande Classe E 220 d 4MATIC All-Terrain débute à 70 000 € mais n’est disponible qu’en diesel. Ses émissions de 153 g/km et sa liste d’options fera grimper la note finale.
Subaru Outback : le coup de cœur
Pour conclure, le Subaru Outback coche toutes les cases pour qui ne cherche pas la technologie de pointe. Confortable, spacieux, facile à prendre en main, sécurisant par tous temps. C’est le choix idéal pour ceux qui recherchent un véhicule à tout faire. Il sait s’adapter à tous les usages et tous les terrains, ce qui est un atout majeur. L’installation d’un kit GPL est en revanche à sérieusement considérer. La facture totale se verra atteindre des sommets si ce n’est pas le cas. Grand amateur de break et de véhicules tout-terrain, l’association des deux m’a toujours intéressé. Le Subaru Outback semble être le résultat le plus crédible et le plus authentique actuellement disponible. Authentique, comme les sensations qu’il procure. Une fois sortie de la ville et de l’autoroute, c’est un vrai régal. Il permet d’aller n’importe ou dans un confort déconcertant. De quoi découvrir les plus beaux recoins de nos régions.
Retrouvez ci-dessous notre tableau récapitulatif ainsi que la traditionnelle galerie de photos de l’essai :
Les + | Les – |
Look baroudeur authentique | Plastiques peu avantageux |
Capacités tout-terrain | Insonorisation |
Espace et confort à bord | Malus assassin |
Texte et photos : Anthony
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